Génocide Médical
La Chine réalise aujourd’hui plus de transplantations d’organes que n’importe quel pays au monde, malgré le nombre faible de donneurs. D’où viennent ces organes?
Après une décennie d’investigations, les détracteurs ont trouvé que le régime chinois tue systématiquement les prisonniers de conscience afin de “nourrir” sa grande industrie de transplantations d’organes.
Comme des patients viennent du monde entier pour des greffes, cette pratique est devenue un crime mondial.
Une enquête d’une décennie:
Les enquêteurs internationaux ont examiné des centaines d’hôpitaux chinois concernés ainsi que leurs revenus, leurs lits, le taux d’occupation des lits, leurs chirurgiens, leurs programmes de formation, leurs budgets attribués, leurs revues médicales, leurs sites officiels, et leurs archives de web…, le tout complété par des témoignages à l’oral. Grâce à ce réseau d’information, les enquêteurs ont recomposé la thèse d’un système de génocide dont l’État chinois, l’armée et des organisations civiles font partie.
Un crime
qui a duré 17 ans et qui continue
conduit par l’État
réalisé par des médecins
exterminant le corps et l’esprit
Un test de notre temps.
Découvertes récentes
Des greffes sur demande
Alors que la période d’attente d’une greffe est de plusieurs années dans les autres pays, les hôpitaux en Chine ont déclaré que la période d’attente est seulement de quelques semaines voire quelques jours. Dans les publicités, ces hôpitaux donnent la possibilité aux patients de choisir à l’avance le jour de l’opération.
Un nombre de greffes très important
Les dernières recherches montrent que le nombre officiel de greffes qui est de 10000 par an est d’un ordre de grandeur bien inférieur à la réalité. La Chine réalise plus de transplantations d’organes que n’importe quel autre pays au monde, malgré un nombre faible de donneurs.
Les réponses du monde entier:
L’Israël, l’Espagne, l’Italie et Taiwan interdisent leurs citoyens de se rendre en Chine pour subir une opération de transplantation dont les sources d’organes sont inconnues.
Le Parlement Européen et le Congrès américain ont voté des résolutions qui condamnent le prélèvement forcé d’organes sur des prisonniers de conscience en Chine.