Une enquête d’une décennie:
Les enquêteurs internationaux ont examiné des centaines d’hôpitaux chinois concernés ainsi que leurs revenus, leurs lits, le taux d’occupation des lits, leurs chirurgiens, leurs programmes de formation, leurs budgets attribués, leurs revues médicales, leurs sites officiels, et leurs archives de web…, le tout complété par des témoignages à l’oral. Grâce à ce réseau d’information, les enquêteurs ont recomposé la thèse d’un système de génocide dont l’État chinois, l’armée et des organisations civiles font partie.
Les réponses du monde entier:
L’Israël, l’Espagne, l’Italie et Taiwan interdisent leurs citoyens de se rendre en Chine pour subir une opération de transplantation dont les sources d’organes sont inconnues.
Le Parlement Européen et le Congrès américain ont voté des résolutions qui condamnent le prélèvement forcé d’organes sur des prisonniers de conscience en Chine.